Fiction Itachi Yuki
Quelle mission difficile ! J’en ai encore les courbatures. Cela va faire 2 semaines que je suis sur le chemin du retour et heureusement ! Je n’aurais, pour RIEN au monde raté le jour du HirumaKoi ! Le jour de l’amour. En fait cette journée et celle que je trouve la plus ridicule, mais c’est tellement amusant de regarder les groupies de la famille Uchiwa se dresser telle une marée humaine hystérique pour avoir le privilège de croiser le regard de l’être aimé. En effet cet unique jour, qui a lieux environ tous les 2 ans, permet à celui ou celle qui aime d’un amour sincère de vivre heureux avec cette fameuse personne à la condition que celle-ci éprouve déjà quelque chose envers l’amoureux(se) transi. Personnellement je trouve cette fête absolument idiote, mais rien ne vaut les batailles de fille avec leur injure minable et leur pleures pour leurs ongles. Voilà j’ai passé les portes du village, je m’annonce, je suis enfin chez moi. Oui, chez moi, cette ville est tout pour moi, tout. Je m’applique dans mon devoir et va faire le rapport a Tsunade, quelle n’est pas ma surprise quand, lorsque je veux entrer je me heurte contre quelqu’un ! Je ne l’avais même pas senti. Ha mais maintenant… je peux dire qu’il sent bon, j’aime bien son parfum… Je lève la tête avec un petit « Gomeen ! » amusé. C’est Itachi rien d’anormal, j’ai jamais réussi à percevoir sa présence, au départ ça me faisait peur, maintenant ? CA M’ENERVE!! Il a depuis pris l’habitude de me surprendre par sa simple présence, ce qui ne manquait pas d’amuser Kiira ! Rien qu’à la pensée de cette fille je fus tout de suite déprimé, je la hais cette sadique sans cœur qui passe son temps à essayer de me disséquer pour ces expériences… Je sais bien que mon chakra rouge n’est pas normal mais ce n’est pas une raison. Je devais maintenant avoir une véritable tête d’enterrement car Itachi me prit par les épaules, quelque peu inquiet.
« Ça va ? Tu as changé d’expressions, d’abord tu étais normal, ensuite étonnée, puis lassé, pour finir tu étais carrément désespéré. Enuméra-t-il avant de reprendre vivement sa respiration tant l’effort d’une phrase si longue était dure.
-Oui ça va.
-Ok, courage.
-Gné ? Repris-je sans comprendre en relevant la tête vers lui.
-Rien.
-Han… »
Il ne répondit pas et s’en alla sans un mot de plus. Il est toujours comme ça. Il dit tout sur le même ton monocorde sans valeur, sans sentiments. D’un côté ça fait son charme, il est d’ailleurs si différent du petit Sasuke. Sasuke est si mignon, si plein de bonne humeur, si jovial et est le seul qui sait faire sourire ce glaçon d’Itachi. Mon regard fixait toujours le mur derrière lequel il avait disparu quand Tsunade m’appela, j’entrais tout de suite, répondant présente. Je fis mon rapport dans les détails comme à mon habitude bien que cette fois j’étais distraite. Pourquoi m’avait-il dit courage ? Passe Yuki, Itachi est… Enfin il est lui quoi ! A mon plus grand bonheur l’hokage m’annonça que comme demain c’était le HirumaKoi, je n’avais pas de mission jusque-là, sauf celle d’éviter, si possible, de grossir les rangs des Groupies. Je lui assurais que ça ne risquait pas, et en sortant, je lui rappelais avec un sourire de ne pas suivre Jiraya demain. Je fermer précipitamment la porte et me décaler de celle-ci pour laisser apparaître l’amour de Tsunade. La chaise volante qui traverse la porte et qui cri « NE ME PARLE PAS DE LUI ! ». Elle aussi est amusante quand elle s’y met ! Enfin, aller, au dodo, une dure journée m’attend demain. Car oui, avec Kiira, nous somme les « favorites », moi parce que je suis intelligente et belle, Kiira parce qu’elle est belle et qu’elle a un putain de caractère de merde, qui attire quoi. Je priais juste que pour une fois, cette sorcière soit partie en mission seule, ce n’est pas que je ne l’aime pas, oh non ! C’est juste que... enfin… je n’aime pas nécessairement me faire disséquer. Et puis quand bien…
« Pas rentré ?
-MÊME !
-…
-Itachi… Je hais quand tu me fais ça ! Dis-je reprenant une respiration à peu près normale.
-Je sais.
-Pourquoi tu continu ?!
-…
-Ca non plus je n’aime pas. Tu as appris combien de mots dans ta vie ? Une vingtaine tout au plus ?!
-…
-J’abandonne. »
Itachi me regarda encore une fois droit dans les yeux, puis partit devant en direction de ma maison, et là, de mon magnifique sens de la déduction, je devinais qu’il désirait me raccompagner. Je le regardais souriant comme à mon habitude avant d’aborder LE sujet sensible. Demain c’était HirumaKoi. Des que ce mot fut prononcé, Itachi s’arrêta net, regardant l’horizon fixement, son teint devenant de plus en plus livide. Lui qui n’est déjà pas coloré, là il était carrément transparent ! C’est vrai que la dernière fois, Itachi avait voulu faire bonne impression et avait accepté de se montrer, grosse erreur… En fait, les filles l’avait attiré au centre, il avait manqué de se faire couper des « mèches souvenirs » dans ses beaux et long cheveux, manqué de finir avec bleus partout ou encore des membres en moins, mais surtout il avait manqué de finir violé une bonne demi-douzaine de fois. Ce qui l’avait légèrement rendu allergique à cette fête. Légèrement hein ? En fait non… totalement. Je le rattrapais avant qu’il ne s’effondre sur le sol, mais qu’est-ce que je peux en faire des conneries moi !
« Hi… HirumaKoi... Hiruma… HirumaKoi…
-Itachi, reprend-toi ! Fis-je en lui donnant quelques claques.
-Ruma…Koi… Hiruma… Koi… »
Ça sert à rien il ne peut déjà plus m’entendre, il a définitivement bug. Pourquoi je lui ai dit ça moi ? Bon, je devrais peut-être l’allonger. Je regarde où l’on est. A environ 500m de chez moi. Bon je devrais pouvoir le faire ! Yosh ! C’est par…
« De l’aide ? Demanda une voix féminine emprunte de voluptuosité.
-Oui, volontiers ! »
Ce fut en me retournant que j’aurais voulu pouvoir ravaler mes paroles. Une jolie jeune femme; à la poitrine avantageuse, parée de cheveux d’un éclat si pur que l’on aurait confondu sa masse capillaire avec de l’argent liquide, le tout embellit par des yeux d’or en fusion; se tenait devant moi, fière de m’avoir eue. Kiira. Définitivement, je la hais ! Sans autre mot, elle prit Itachi et le cala sur son flanc faisant passer l’un des bras du beau brun sur son épaule afin de mieux le maintenir. Pour une fois je ravaler ma fierté et accepter l’aide de ma coéquipière. Le cheminement vers chez moi se fit sans aucun commentaire, chacune respectant le bref moment de paix qu’avait, sans le faire exprès, instauré Itachi qui n’avait toujours pas réussi à se dépêtrer de son bug. Une fois arrivé devant ma modeste demeure, j’ouvris la porte et alla, avec l’aide de la sorcière, allonger le souffrant. Une fois ceci fait je ne m’éloignais plus de lui, j’étais méfiante, déjà Kiira le regardait comme un met de choix.
« Dis Yuki…
-Quoi ?
-J’ai le droit de le disséquer ?!! Cela pourrait être intéressant de savoir pourquoi son bug persiste, de quelle région du cerveau viens ce bug non ?
-Dis surtout que tu veux le disséquer pour avoir le sharingan. Tout le monde sait d’où tu tires ta force.
-Pfu ! Rabat-joie ! »
En fait la principale force de Kiira était l’incroyable quantité de Technique quel avait apprise en disséquant les cadavres des hommes qu’elle avait tué. Son autre force, tout aussi redoutable, résidait dans le fait qu’elle était capable d’accorder son chakra avec n’importe qu’elle personne et ainsi soit augmenter les pouvoirs, soit les diminuer voire les stopper complétement par le simple toucher mais ceci durant un temps délimité. Faire équipe avec cette personne était à la fois merveilleux et terrifiant. Peu après avoir essayé, une ou deux fois d’ouvrir Itachi en deux, elle partit boudeuse de la maison, me laissant seule avec lui. L’homme avait fini par s’endormir ne pouvant de toute façon pas faire debugger son cerveau. J’allais faire de même sur mon lit après m’être soigneusement lavée. Je me réveillais le lendemain matin, entendant déjà un grondement sourd devant chez moi auquel je ne prêtais pas attention, je passais devant le grand miroir et m’y regardais. Mes longs cheveux noirs en pétard retombaient sur mes yeux bleu azur aux long cils, j’avais un nez aquilin et des lèvres fines, ma longue chemise de nuit mettait avantageusement mes formes en valeurs. Encore ensommeillée, je me dirigeais dans le salon, où mon regard s’arrêta sur Itachi avant d’exploser de rire. Non mais regardez-moi ça ! Itachi était sur le dos un bras pendant dans le vide, l’autre derrière sa tête, une des jambes était droite et dépassait du canapé contre l’autre qui s’échappait elle aussi des coussins mais cette fois par le dossier. Je le regardais avec affection, puis mes pensées se perdirent, le jour où Le grand brun avait formé cette première équipe composé de deux filles et de lui. Oui c’était un jour comme celui-ci, un Mardi il me semble, j’avais était convoqué chez Tsunade avec la terreur de la ville, ma chère et tendre Kiira (NDA : Ici, pure ironie). C’était pour une mission très dangereuse et il avait estimé qu’il lui fallait une championne en ninjutsu d’extermination et de capture, un champion en genjutsu et autres illusion et une championne d’art martiaux, parfaitement capable de rivaliser avec n’importe qui sans utiliser de Chakra, ce qui était mon cas. En fait je suis très bonne en ninjutsu mais je dois avouer que le Sabre, c’est vraiment ce que je préfère. C’est ainsi qu’est né l’équipe. Grace à cet homme-là, qui affalé dans ce canapé comme il l’était là, semblait ne pouvoir faire de mal à personne et d‘être la personne la plus simple et pure au monde. Sans m’en rendre compte je m’étais approché de lui, près, très près, il sembla qu’il l’avait remarqué lui puisqu’il ouvrit les yeux, puis les agrandit au vue de mon visage si près du sien. Je me reculais alors, complétement perdue, par ma réaction et je courais comme une dératée vers ma chambre en criant à l’adresse du brun que le café était prêt et qu’il n’avait plus qu’à se servir. Bien, sauf que je n’avais pas eu le temps de faire du café, par conséquent rester celui de la veille. Pauvre Itachi. Je ressors quelques minutes plus tard, de ma chambre totalement habillée et coiffée. Lorsque je me dirige vers la cuisine je reste sans voix. Un petit déjeuner est servi, avec tartine beurée et nappée de confiture, des tranche d’un pain doré recouverte de… de… de… DE SPECULOS ?!
« Kyaaaaaaaa !!!!!
-Hm ?
-Comment as-tu osé, toucher à MON pot de spéculos ? »
Et encore… Je ne l’avait pas vu de face. Par sur le moment, mais quand il se retourna pour me regarder d’un air interrogateur, je lui sautais à la gorge pour l’étriper. C’était une cuillère de pot à spéculos qu’il avait dans la bouche. MON spéculos, dans SA bouche… Damned. J’allais lui sauter à la gorge quand ma porte s’ouvrit violemment sur une meute en furie d’homme, armé de boite de chocolat. C’est quoi ce bordel ? Hi… HirumaKoi ! Vite sauve qui peut ! Je pris Itachi par le col et l’invita à courir avec moi pour éviter de finir mort étouffer. Une fois dans les rues, se fut pire. Non seulement on avait « mes » mecs à mes trousses, mais aussi les groupies de l’autre truc qui me sert d’équipier. Le pire de tout ça, c’est qu’il recommençait à bug. Mais quel boulet je vous le dit moi ! Je prenais Itachi par le bras, le forçant à courir, je tournais à droite, barrage, je montais sur les toits et descendais dans la rue, vide, je me croyais alors sauvée, et ben non, elles sont là au détour de la rue, je vais en sens inverse, les mecs y sont, que faire ? Ils se rapprochent, bon dieu j’ai peur ! Et Itachi qui ne peut servir a rien ici, quel boulet ! Que quelqu’un m’aide, que quelqu’un m’aide ! Je disparu, à mon plus grand étonnement, dans un amas de feuilles aux couleurs d’automne pour réapparaitre à l’abri, dans une maison abandonné à première vue.
« Faudra me dire comment tu fais pour te faire coincer par des boulets pareil. Tu baisse dans mon estime, je sais plus si je vais te disséquer…
-TANT MIEUX ! Criais-je en me retournant dans la direction de la voix.
-Huhu !
-Hm au fait Kiira, je ne connaissais pas cette technique…
-Normal, c’est de ma dernière mission solo, j’ai tué le mec alors je l’ai disséqué. Si tu avais vu son corps ! Surtout ses entrailles c’était…
-Epargne-moi les détails… »
Kiira partit d’un petit rire taquin avant de m’annoncer qu’elle me laissait en plan vu qu’elle avait une proie pour aujourd’hui, et qu’elle comptait bien profiter du HirumaKoi pour avoir sa chance. Lorsque que je demandais qui je devais plaindre, ce fut sans surprise que j’appris que c’était Sakumo. Je lui souhaitais intérieurement du courage. Cette fille faut savoir la vivre. J’étais encore plongée dans mes pensées lorsque :
« Kiira veut se taper Sakumo? Le pauvre.
-Oui, c’est son fils, Kakashi, qui va être content. Heu… Depuis quand tu as debuggé ?! »
Il me regarda légèrement amusé. Il était si beau quand il souriait… Son sourire révélait ses dents immaculée et bien alignée, qui venait parfaire son visage de dieux grec aux cheveux de nuit. Je semblais maintenant complétement hypnotisé par ses yeux, d’un rouge sang ornée de gouttelettes noires qui paraissaient vouloir se rejoindre sans jamais pouvoir se toucher, car fixées à leur place respectives. Puis mon regard redescendit sur sa bouche, ses lèvres fines et délicates, légèrement entre-ouvertes, qui, humectée avaient pris une légère teinte brillante, attirante. Je ne rendais même pas compte que ces fameuses lèvres se rapprochaient de moi, doucement mais surement, j’étais si obnubilée… Doucement nos lèvres se rencontrèrent, le baiser se fit, doux, simple, innocent.
P.O.V Omniscient
Ce fut lorsque qu’Itachi passa sa main dans la nuque de sa coéquipière que le baiser se fit plus insistant, plus sauvage. Lentement Yuki se positionna à califourchon sur lui. Ne brisant sous aucun prétexte le baiser. Doucement elle releva le T-shirt embrassant tendrement le torse du brun, qui caressa délicatement ses cheveux. Itachi, impatient, remonta sa compagne à sa hauteur pour l’embrasser de nouveau, profitant de l’occasion pour glisser ses doit sous le chemiser de Yuki. Sans relâcher l’étreinte de son baiser, il défit avec une dextérité étonnante, les quelques boutons qui le séparait encore de la peau douce et parfumée de sa tentatrice. La jolie brune gémissait de plaisir, commençant à perdre totalement son self-control. Elle en voulait plus, elle voulait qu’il soit plus pressant, plus audacieux. Dans un râle de plaisir, elle laissa tomber le fin tissue sur le sol et entreprit de déshabiller son doux tortionnaire. Comprenant l’invitation, Itachi s’empressa d’envoyer ses quelques vêtements rejoindre ceux de son amie. Puis, haletant, il prit un instant pour l’admirer. Elle était belle, désirable... D’une main câline, l’anbu caressa ses deux magnifiques seins, et il ne put s’empêcher de se passer la langue sur les lèvres avec envie.
Itachi attrapa sa demoiselle par les épaules et pris la place du dessus, plaquant par le même geste les poignets de la jeune fille au sol. Le corps de Yuki était parcouru de soubresauts de plaisir, ce qui rendait le brun plus ardent, l’incitant à mordiller tendrement le petit téton qui pointait fièrement contre ses lèvres. Il descendit plus au sud en laissant une fine lignée sur le ventre appétissant de sa coéquipière, jouant avec son nombril un instant et continuant sa descente avec une lenteur presque criminelle. Le femme aux yeux d’azur gémissait de plaisir, sentant que son corps entier réclamait son homme. Elle glissait de plus en plus vers le bas, comme pour chercher impatiemment le contact, mais d’une main ferme, Itachi la remettait à sa place, un sourire malicieux sur les lèvres. Quand il atteint l’objet de ses plus lubriques convoitises, il leva légèrement les yeux vers son amante, attendant quelques signes de protestation, qui bien sur, ne vinrent pas. Satisfait il commença un jeu lascif avec le bout de sa langue, goutant avec délice le charmant petit fruitier. La jolie brune sombrait dans une lente agonie, subissant sa torture avec ravissement. Elle griffait légèrement le sol recouvert d’une fine moquette, se cambrant sous une décharge électrique quand Itachi effleura son petit bouton d’amour et s’insinua plus profondément en elle. Jamais elle n’avait connu pareil plaisir. Son corps tout entier était parcouru de légères décharges, la poussant à crier le nom de son bourreau, qu’elle essayait de taire entre ses dents. Au bord du supplice, elle passa une main dans les mèches sombres de son amant, lui indiquant de la rejoindre avant qu’elle ne défaille complètement. Le jeune homme se releva alors lentement et tout en se rapprochant de la femme aux cheveux de nuit, il passa délicieusement la langue sur ses lèvres, comme après avoir bu le plus merveilleux des breuvages.
Il prit appui sur les mains pour prendre position au-dessus de son visage et un sourire malicieux sur les lèvres.
« Je pense que l’on devrait s’arrêter là, non ? »
Mais déjà la jeune jouvencelle avait repris ses lèvres, appréciant avec délectation la saveur qu’elles dégageaient. Elle enserra d’un geste rapide les hanches de d’Itachi, qui sous l’effet de surprise en perdit presque l’équilibre. C’est alors que, le regard l’un dans l’autre, il descendit doucement quelques doigts vers son divin puits d’amour et lorsqu’il les inséra dans un mouvement agile, elle se cambra encore plus, pouvant sentir tout contre son ventre, la virilité concupiscente qui bientôt l’emmènerai jusqu’à l’extase. Avec un malin plaisir, Itachi jouait avec ses doigts, imprimant de légers vas et vient, mais il ne souhaitait pas encore lui donner ce qu’elle voulait, il préférait la voir se languir sous ses caresses insoutenables, il voulait qu’elle ouvre la bouche pour autre chose que lui rendre ses baisers, il voulait qu’elle lui demande. Oui ! Quelle lui demande enfin….
Et enfin….
« Itachi… Je… Je t’en prie… Prend-moi !
-Ah ! J’ai bien cru que tu ne me le demanderais jamais, lança-t-il avec malice. »
Et en un mouvement ardent, il pénétra le douce et chaude entrée de son aimée. Chacun émit un gémissement de plaisir intense, dans l’impossibilité de garder plus longtemps en eux ce feu qui les consumait. Itachi donnait de puissants coups de rein, obligeant Yuki à se maintenir à lui pour ne pas glisser sur le sol. Il aimait la sentir contre lui, et elle aimait le sentir au plus profond d’elle. La tête en arrière, elle laissait son tendre amant la couvrir de baiser enflammer dans sa nuque chaude et offerte dans laquelle il pouvait sentir son cœur battre à toute allure. Et quand, elle sentit le souffle de son bourreau s’accélérer contre sa poitrine, elle enserra d’autant plus son étreinte autour de sa taille et plaça des mains souples sur ses fesses fermes et musclées, l’incitant à accélérer le mouvement. Celui-ci ne se fit pas prier et octroya des coups plus vigoureux et plus indomptés, arrachant des cris de plaisir à la belle, qui sentait en elle, montait en plus du membre concupiscent d’Itachi, une chaleur telle qu’elle ne pouvait plus retenir ses cris. Elle enfoui son visage dans le creux de l’épaule de son amant, qui ne ralentissait pas ses assauts pour autant. Et dans un râle de jouissance extrême, il sentit une décharge vive lui parcourir le bas des reins et il ne put s’empêcher de se mordre le poing pour ne pas hurler quand son corps se contorsionna en plusieurs petits soubresauts. Lentement, leur respiration se fit plus calme, plus sereine. Comme le calme qui précède la tempête un lourd silence s’installa. Ils restèrent un instant l’un contre l’autre, ne voulant pas se relâcher, de peur de vaincre la magie du moment. Doucement les deux amoureux s’écartèrent l’un de l’autre. Se rhabillant, chacun luttant contre l’envie d’aller refaire valser les vêtements de l’autre une seconde fois. Puis une fois cela fait, ils s’assirent, dos à dos, leur tête sur l’épaule de leur amant. Regardant le plafond de l’air le plus inspirée qu’ils pouvaient avoir. Mais chacun, étant heureux d’avoir passé ce moment avec l’autre, sachant pertinemment que leur histoire d’amour, ne faisait que commencer.
« Finalement… Commença Itachi. Je me serais bien fait violer un jour d’HirumaKoi.
-VIOLE ?! Et c’est qui qui a pris les devants ?! »